Le 2 juillet 2013, la Commission européenne a lancée une nouvelle initiative : "l'Alliance européenne pour l'Apprentissage".
Elle s'inscrit dans un panel d'outils et d'initiatives récemment proposés par la Commission européenne en faveur de l'emploi des jeunes. En effet, la Commission estime que l’apprentissage est un élément clé de la garantie pour la jeunesse adoptée par le Conseil en avril 2013.
Cette Alliance a comme objectif principal de contribuer à promouvoir l’apprentissage partout en Europe. Elle appuiera les réformes nationales visant à mettre en place ou à renforcer les programmes d’apprentissage, en s'inspirant notamment des modèles d'apprentissage appelés "système dual" existants en Allemagne, en Autriche ou en Suisse. Ces modèles sont très efficients en terme d'insertion dans l'emploi des jeunes.
Plus d'informations sur le site de la Commission européenne : http://ec.europa.eu/apprenticeships-alliance
Le 15 octobre dernier, le Conseil européen rassemblant les Ministres du Travail et des Affaires Sociales de l'UE adopté une déclaration relative à l'Alliance européenne pour l'apprentissage. Cette déclaration est la réponse du Conseil au lancement de l'alliance, dans laquelle il est admis que l'apprentissage de qualité est un outil efficace pour améliorer le passage de l'école à la vie active.
La promotion de l'enseignement par alternance est l'un des focus européens pour lutter contre le chômage des jeunes.
Le 22 juin 2010, la CCFEE analyse, d'initiative, et commente les répercussions en matière de formation, d’insertion et d’enseignement, de la mise en œuvre systématique du dispositif de Construction de projet professionnel (CPP) pour les demandeurs d’emploi de moins de 25 ans en Région de Bruxelles-Capitale.
Proposition du groupe social européen largement soutenue par le Forum européen de la jeunesse.
Le 11 mai 1999, la CCFEE examine les modalités de mise en oeuvre du volet "Formation" du Plan d'accompagnement des Chômeurs, selon l'Accord de coopération conclu le 13 mai 1998 entre les entités fédérées.
C'est le rapport du nombre de jeunes âgés de 15 à 24 ans qui n’ont pas d’emploi au nombre total de jeunes âgés de 15 à 24 ans. L’enseignement étant, en Belgique, obligatoire jusqu’à 18 ans, il est normal que le taux de chômage de ces jeunes soit plus élevé que celui des plus de 25 ans. Cependant, il reste que le nombre des bruxellois âgés de 18 à 25 ans qui ne sont ni en emploi et ni en formation (NEETs) est très élevé.
Classée au cinquième rang mondial des métropoles européennes choisies comme lieu d’implantation et de localisation des entreprises, Bruxelles connaît néanmoins une précarité importante puisque plus d’un quart de ses habitants vit sous le seuil de pauvreté. Un adolescent bruxellois sur trois grandit aujourd’hui dans une famille sans revenu du travail.
La Fondation P&V lance un appel à projet visant à soutenir de multiples actions, mises en oeuvre en 2014, dans ces domaines.